mardi 22 septembre 2015

GARDECHE - Beaume Salène

Je vais profiter des vacances en famille au camping d'Allègres les Fumades pour faire quelques sorties avec le Gardech'ti.

C'est avec beaucoup de plaisir que j'accompagnais Patrick. Et les quelques sorties en sa compagnie m'ont été très enrichissante. J'ai pu apprendre à élargir une entrée à la paille et en apprendre la confection.

Notre première sortie fût une petite mise en jambe ou plutôt mise à l'eau. C'est la visite de Beaume Salène. Jolie grotte aquatique avec deux grandes salles concrétionnées au bout du réseau.
Nous sommes rentrés par le passage supérieur et ressortis par la Beaume. Avec les bottes remplies d'eau, j'étais content d'avoir mon bidon étanche pour traversé la rivière.



Pour notre deuxième journée, nous irons faire un tour dans le Charnier, L'aven de Lacham et une désob au Totem 3.
Pour le charnier et Lacham, nous descendrons jusqu'aux chantiers mais nous remontrons aussi vite, le CO2 étant de la partie. Etre essoufflé en remontant le P13 à l'entrée.
La désobstruction du Totem 3 nous emmènera pas très loin, ça se rétréci trop vite après 2m50.



Troisième sortie, Patrick devait ouvrir une entrée pour des spéléos du coin. C'est l'occasion d'apprendre à utiliser les pailles. On se mit au travail et après plusieurs pailles, le passage s'ouvre sur un puits assez engageant. Comme le chantier n'était pas celui de Patrick, nous ne sommes pas descendu et avons prévenu Roger et Maryse.
Ils nous ont gentiment proposé de descendre avec eux le mardi suivant.

Mardi arrivé, nous allons cherché les inventeurs de la grotte qui n'avait pas encore de nom à ce moment là. Ils décideront de l'appeler Lyssatirdecoup (a vérifier l'orthographe).
Je suis descendu en premier dans le puits sur une dizaine de mètres (merci à Roger et Maryse pour cette première) pour arriver sur un palier. Ensuite cela se rétréci et descend encore +- 4m. C'est Patrick qui fera la descente mais c'est trop étroit, il faudrait travailler au fond afin de continuer. Nous remontrons avec un peu d’essoufflement (he oui, encore du CO2).

Frédéric Courcelles